11 
11 commentaires 
Dans l’espace, personne ne vous entendra crier dans cette bande-annonce à la Gravity qui tourne (très) mal.
Après le Ariana DeBose enchaine à Hollywood. Après Wish – Asha et la bonne étoile en 2023 et bientôt Argylle et Kraven the Hunter en 2024, son prochain rôle décisif pourrait se trouver dans un thriller de science-fiction modeste et efficace, si on en croit les critiques américaines et ses premières belles images.
Dans Gabriela Cowperthwaite, qui a fait ses armes du côté du documentaire (Blackfish, The Grab), résonne forcément avec la situation actuelle où la SSI abrite l’une des dernières ententes diplomatiques entre la Russie et les États-Unis (jusqu’en 2024). En tout cas, la bande-annonce de I.S.S. promet un futur (très) apocalyptique.
L’I.S.S. OU LE DERNIER BASTION de la paix
Ce film de science-fiction a tout pour être une belle surprise. En effet, ça fait plusieurs années que le scénario de Nick Shafir se balade dans les bureaux des producteurs hollywoodiens. Au final, c’est le studio indépendant LD Entertainment (derrière Biutiful d’Alejandro González Iñárritu et Jackie de Pablo Larraín) qui a saisi le potentiel et décidé de le financer à hauteur de 22,4 millions de dollars. Tout l’intérêt d’I.S.S semble justement reposer sur son écriture et l’économie de sa mise en scène, pour un drame spatial au budget modeste.
Plus encore, et on le ressent grandement dans la bande-annonce, la cinéaste Gabriela Cowperthwaite semble jouer la carte du réalisme. À bord de l’I.S.S., la tension parait surgir d’une paranoïa et d’une violence bien humaine. Du reste, les images impressionnent et l’équipe semble avoir voulu créer une station spatiale authentique et documentée. Tout ça semble glorifié par des effets spéciaux (très) solides pour un film de cet acabit.
Pour le moment, aucune date de sortie n’a été communiquée en . Cependant, I.S.S devrait sortir aux États-Unis le 19 janvier 2024 dans les salles obscures. Outre la présence d’Ariana DeBose en tête d’affiche, on retrouvera au casting John Gallagher Jr. (10 Cloverfield Lane), Chris Messina (Air) et Pilou Asbæk (Ghost in the Shell).
L’ISS est le lieu où se trouve le plus d’êtres humains raisonnés.
La psychologie y est une force tout comme les compétences.
Ce pitch semble être un peu aussi ce qui se e en moment dans for all mankind
On ne voit pas trop le rapport avec Gravity mais ça a l’air d’une bonne petite série B solide qui se laisse regarder même si le pitch est totalement surréaliste.
En espérant que le scénario ne serve pas de propagande américaine, et propose une solution d’espoir. Marre de ne découvrir que des scénarios de détestation de l’humanité. Les gouvernements ne font pas les peuples. Dites moi que c’est encore possible!… Étonnant que vous n’ayez pas mentionné l’excellent 2010 l’année du Premier ( Peter Hyams, auteur du non moins réussi Outland) dont le sujet est strictement le même.
Je ne serais pas très étonné, connaissant un peu ce qu’à fait Gabriela Cowperthwaite auparavant, de découvrir que la bande-annonce essaie de nous survendre le film et qu’elle s’intéresse en réalité bien plus à ce qu’il se e entre ces « scènes de tension ».
Ah, ça me plaît bien ça… Effectivement, un peu trop longue, on aurait dû s’arrêter à la première explosion.
Petite vibe Dr Stone là dedans. A voir, ça peut faire un petit film intéressant.
Sûrement pas un chef d’oeuvre ni un premier prix d’originalité mais suffisamment efficace et intriguant pour le découvrir en salle. J’espère une sortie…
Dans une situation pareil, vu que la terre a été stérilisé et que la notion de nation est caduc et qu’ils ne sont responsable de rien. Je crois bien que pour leurs intérêts respectifs, il est mieux de travailler en synergie plutôt que d’être submergé par une émotion qui amènerait à exporter la guerre dans l’ISS.
Effectivement, bande annonce trop longue. Mais c’est le genre de films à petit budget qui me plait bien