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Ridley Scott était l'un des derniers gros paris hollywoodiens de 2024, et le box-office indique que ce sera un échec, de toute évidence.
Comme tant d'autres à Hollywood, Ridley Scott est en (grande) partie occupé par le recyclage de son propre travail. Il avait ravivé la flamme Alien avec les prequels Blade Runner réalisée par Denis Villeneuve... qui a été un bide en salles.
Et alors qu'il s'accroche aux xénomorphes puisqu'il était producteur d'version longue de 1492 : Christophe Colomb, l'un de ses films les plus oubliés. Rien ne se perd, tout se transforme. Du moins en théorie.
Avec la suite de Denzel Washington est donc arrivé. Mais ce sera de toute évidence un nouvel échec cuisant.
GLADIATOR 2 AVAIT TRÈS BIEN DÉMARRÉ
La carrière de Gladiator 2 avait plutôt très bien commencé. Avant de débarquer aux États-Unis, le blockbuster avait signé un très beau démarrage à travers le monde. Sorti sur 63 territoires, il avait encaissé 87 millions de dollars, soit le plus gros démarrage pour un film Rated R (interdit aux moins de 17 ans non accompagnés) du studio Paramount, et un record pour Ridley Scott.
A titre de comparaison, Seul sur Mars avait démarré avec environ 45 millions sur 54 territoires en 2015. Et en 2012, Prometheus s’était contenté de 35 millions, dans 15 pays. Côté IMAX, le gladiateur Paul Mescal avait récolté 7 millions sur 453 écrans, soit l’un des meilleurs démarrages de 2024 pour l’entreprise.
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Le manque de souffle épique et l absence totale de charisme de Paul mescal ne m ont pas fait aimé ce gladiator là. J’avais bien aimé le 1er vu tout seul à la séance de 11 car moins chere
.
Juste pour rebondir sur Paulo que l’on s imagine en successeur de Daniel Craig , très peu pour moi
Une bonne bouillie numérique, en même temps les requins ne se domestiquent pas.
Bide commercial et/ou artistique bien digéré , je vais me refaire spartacus et ben hur.
Autant j’espère de tout cœur que Robert zemeckis se relève et continue de nous proposer des films bides après bides , autant je n attens plus rien de papy ridley
Selon un article récent de « Screenrant » il as é les 400 millions au b.o mondial.
https://screenrant.com/gladiator-2-movie-400-million-global-box-office-milestone/
Cela dit ce qui ne serai toujours pas suffisant pour le rentabiliser.
Geoffrey
De mon côté le terme « bide » est synonyme d’échec. Et lorsque l’on me dit qu’un film est un échec, j’entends qu’il n’a su trouver ni le public et s’est fait éreinter par la critique. Ce film a globalement eu un accueil plus qu’honorable tant du point de vue de ses entrées que de ses critiques! Quand à sa rentabilité, c’est un critère dont les cinéphiles ne s’embarrassent pas au contraire des producteurs. Et oui c’est un bide/échec d’un point de vue comptable, comme ce fut le cas de bien d’autres films parmi lesquels des chefs d’oeuvres comme Fight Club, Il était une fois en Amérique, Scarface ou un certains ….Blade Runner! Et il est difficile de dire de ces films que ce sont des bides.
Marrant de lire ça juste après que le très sérieux Production Weekly (repris par WorldofReel) annonce pas plus tard qu’il y a 2 jours le tournage du 3e opus en Avril 2026 à Malte pour une sortie probable en 2027.
aller je table pour une sortie vod d’ici maximum le 10 janvier pour le booster au oscars meme si il a aucunes chances.
Dissertation, qu’entendez-vous par un « « « bide » » » cinématographique ? Pour moi cela se mesure en nombre d’entrées et cela n’est pas synonyme de rentabilité! Un bide, il s’agit pour moi d’un échec public cuisant, majeur, que personne ou si peu, très peu à été voir. Avec plus de 2,5 millions de spectateurs français, 380M de $ au BO mondial (sans aucun doute au-delà des 400 au final) et une note moyenne de 3,50 (allo) et 6.9 (imdb)…. C’est donc tout sauf une victoire écrasante au box office mais aussi tout sauf une défaite cuisante! On ne peut pas dire que peu ou personne ne se soit déplacé pour allez le voir. Un échec financier oui, dont la mesure réelle et l’importance reste à mesurer, mais un bide non!
C’est un bon spectacle épique qui fait le job, sans plus, qui ne marquera pas l’Histoire du cinéma comme son illustre prédécesseur mais qui est loin d’être indigne dans sa mise en scène, sa photographie où le jeu de ses acteurs! De là à sortir l’infamant et putassier « bide »!!!
J’ai é un bon moment devant Gladiator 2. Mais juste un bon moment sans plus. C’est un copier coller de Gladiator mais avec encore plus de raccourcis historiques, un antagoniste bon mais trop prévisible, une absence d’émotion et d’enjeu, pas de nouveauté hormis des animaux en CGI et même si Paul Mescal n’est pas mauvais il n’a pas la présence qu’avait Russel Crowe – qui a eu la présence d’esprit de remanier le scénario qui ne lui convenait pas. Le budget est démesuré pour ce qu’on voit à l’écran et Scott semble plus vouloir er du temps sur les plateaux, quit à torcher sa mise en scène, que de vouloir laisser des oeuvres mémorables comme par le é. Il y a un plafond de verre qui destine ce genre de production à un visionnage en streaming. J’espère que Scott finira quand même par le comprendre un jour et choisira mieux ses scénarios.
Gladiator 2 est l’illustration de ce que devient Hollywood. La suite inutile d’un film culte qui se suffisait par lui-même. Une volonté de faire bigger and louder mais un scénario insuffisant. On sent clairement que Ridley Scott a fait le film pour s’am dans l’arène mais a délaissé son histoire. Oui c’est spectaculaire mais c’est aussi totalement dénué d’émotion.
Trop de budget tue les films. On demande juste une bonne histoire avec de bons acteurs et un bon metteur en scène.
La surenchère, c’est bon que pour les jeux du cirque et un public en manque de sensations fortes.