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Netflix balance nombre de films et séries dans son catalogue chaque semaine, sans qu’on les remarque ou que la plateforme ne l’annonce officiellement. Écran Large revient sur les nouveautés ajoutées par Netflix du 24 au 30 mai 2024, films et séries confondus dans une liste non exhaustive.
Quels sont les films et les séries à ne pas manquer cette semaine sur la plateforme de streaming ?
MULLIGAN SAISON 2
- Déjà disponible sur Netflix
- Durée : 10 épisodes de 30 minutes
De quoi ça parle : Tout en luttant contre les bateaux de croisière, les pannes de courant et leur propre incompétence, Mulligan et son cabinet essaient de maintenir à flot ce qui reste de l’Amérique.
Pourquoi il faut le regarder : Parce que c’est la suite des aventures du président le moins qualifié de tous les temps. Mulligan, c’est un peu comme si le monde était resté (presque) normal, mais avait décidé d’élire un personnage tout droit sorti d’Idiocracy pour les protéger d’une attaque d’extraterrestres. Résultat : en 24 heures de mandat, il reste moins de 1500 survivants sur le sol américain.
Cette comédie d’animation pour adulte dans la veine d‘Inside Job devrait donc vous arracher un sourire ou a minima un soufflement du nez. En plus, cette série créée par Sam Means et Robert Carlock, dont les précédents faits d’armes comprennent Unbreakable Kimmy Schmidt et 30 Rock, compte dans son casting vocal l’hilarante Tina Fey, mais aussi Phil Lamarr, Dana Carvey et Daniel Radcliff.
Atlas
- Déjà disponible sur Netflix
- Durée : 1h58
Ça parle de quoi ? Brillante analyste de données, Atlas Shepherd est misanthrope et se méfie totalement de l’intelligence artificielle. Tandis qu’elle se lance dans une mission qui ne se déroule pas comme prévu, elle est obligée de faire confiance à l’IA si elle veut sauver l’avenir de l’humanité…
- À lire aussi : notre critique d’Atlas
Pourquoi il faut le regarder : Pour la science, le goût du risque ou juste l’appel irrésistible des robots géants (rappelons qu’Écran Large est un safe space pour tous les fans de Pacific Rim). Et si vous avez é un bon moment devant le film The Mother (également sur Netflix), on peut ajouter comme autre argument le retour d’une Jennifer Lopez badass en tête d’affiche.
Il y a aussi d’autres noms sympas au casting de ce film réalisé par Brad Peyton, comme Simu Liu, Sterling K. Brown et Mark Strong.
Mon Oni à moi
- Déjà disponible sur Netflix
- Durée : 1h52
Ça parle de quoi ? Tellement timide qu’il n’ose pas dire non, un ado est embarqué dans un voyage mystique au cœur de neiges estivales par une jeune fille têtue à la recherche de sa mère disparue.
Pourquoi il faut le regarder : Film d’animation japonais destiné au jeune public, Mon oni à moi promet de se concentrer sur le voyage littéral et symbolique d’un jeune garçon à travers un monde fantastique, magique et féérique. Autre élément encourageant : le film est réalisé par Tomotaka Shibayama (un des réalisateurs du sympathique Loin de moi, près de toi sorti sur Netflix en 2020), qui a notamment travaillé pour le Studio Ghibli.
Ajoutés à ça ses doubleurs de grand talent et son histoire touchante sur le papier, préparez-vous à embarquer dans un univers de douces lignes et de couleurs éclatantes.
Bionic
- Disponible le 29 mai
- Durée : 1h50
Ça parle de quoi ? Dans un futur dystopique où les prothèses robotiques ont redéfini le sport, deux sœurs s’affrontent au saut en longueur. Mais leur rivalité les conduit sur un chemin dangereux.
Pourquoi il faut le regarder ">Bionic a tout l’air d’avoir de l’ambition. Mêlant a priori film de sport et thriller de science-fiction futuriste, la réalisation de Afonso Poyart (Prémonitions) a tout pour être un divertissement haletant, tout en posant des réflexions intéressantes sur l’avenir de la technologie et du transhumanisme. À la manière de Bienvenue à Gattaca qui soulevait la question de l’eugénisme à l’échelle d’une société, Bionic pose apparemment le débat sur l’augmentation artificielle de l’humain et de sa légitimité dans notre future.
Le film ne s’arrête pas là dans le mélange des genres, car il semble aussi toucher le monde du crime organisé articulé autour de ces prothèses, pouvant presque rappeler les charcudocs de Cyberpunk 2077. Un joli cocktail donc.
Les couleurs du mal : rouge
- Disponible le 29 mai
- Durée : 1h51
Ça parle de quoi ? Un meurtre horrible sur une plage de la Tricité dévoile un monde criminel insoupçonné et met à l’épreuve le courage d’un procureur et d’une mère éplorée en quête de réponses.
Pourquoi il faut le regarder ">Les Couleurs du mal : Rouge, est peut être fait pour vous. Ici, il n’y a pas plusieurs serial killers à interroger, mais un seul à traquer. Pourtant, la compréhension de ce dernier devrait être centrale à ce thriller criminel polonais qui s’annonce plutôt haletant (tout du moins divertissant). Si le film n’a pas l’air de réinventer la formule, il semble tout de même maitriser ses codes pour poser une ambiance pesante. Parfait pour un dimanche pluvieux.
Eric
- Disponible le 30 mai
- Durée : 6 épisodes de 60 minutes
Ça parle de quoi ? New York, années 80. Un homme désespéré recherche son fils de 9 ans au côté d’un flic obstiné, tout en affrontant ses propres démons.
Pourquoi il faut le regarder ? Parce que Eric devrait plonger dans la psychologie détraquée d’un Bennedict Cumberbatch en mode créateur de marionnettes/peluches flippantes et papa inquiet. Avec sa mise en scène oppressante (de ce qu’on voit dans la bande-annonce), cette minisérie d’Abi Morgan cherchera à la fois à résoudre le mystère de la disparition de l’enfant, mais aussi à s’enfoncer dans l’esprit labyrinthique de son protagoniste.
Au casting, on retrouve également Gaby Hoffmann, McKinley Belcher III ou encore Dan Fogler. Ce thriller qu’on espère poignant pourrait également rappeler à certains d’entre nous quelques petits traumatismes d’enfance, d’une manière étonnamment ressemblante à ce que le héros risque de traverser…
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