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Léa Seydoux s’est dévoilée dans une bande-annonce entre horreur, science-fiction et fantastique qui nous fait trépigner d’impatience.
Bertrand Bonello fait sans aucun doute partie des cinéastes les plus ionnants de sa génération. Révélé auprès du grand public grâce à le puissant Zombi Child, un vigoureux mélange des genres.
Quatre ans plus tard, il est enfin de retour avec un film de science-fiction mené par Léa Seydoux et George MacKay (1917). Le long-métrage est librement adapté du roman La Bête dans la jungle de Henry James. Dans le film de Bertrand Bonello, Gabrielle (Léa Seydoux) devra lutter contre ses sentiments forts et ressasser le é pour s’en débarrasser, afin d’être plus productive au travail. Une manière d’accentuer les maux de notre époque pour en dénoncer certaines dérives ? C’est un peu ce qui ressort de la bande-annonce de La Bête entre fantastique, horreur et science-fiction.
- À lire aussi : Notre critique de Coma de Bertrand Bonello
La belle et la bête
Oh que ça donne envie. Léa Seydoux dans une dystopie dans laquelle les émotions entravent la capacité des humains à travailler, qui doit voyager dans le temps pour retrouver la source de son surplus d’affects ? On signe tout de suite. Ça ressemble un peu à une séance en 4DX chez un psychologue, c’est de la science-fiction et c’est avec George MacKay : on fait confiance à Bertrand Bonello pour nous impressionner une nouvelle fois avec cette histoire alléchante.
L’alchimie entre les deux comédiens principaux semble parfaitement fonctionner. Le tout a un côté farfelu et rêveur à la David Lynch qui ne fait que nourrir notre impatience. Les décors et costumes sont beaux, le scénario l’est tout autant et cette bande-annonce donne particulièrement envie d’en voir plus. Tout ça semble confirmer ce que les premiers retours sur le film ont assuré : Bertrand Bonello est de retour en grande forme avec La Bête. En effet, lors de son age à la Mostra de Venise 2023 était l’un des chouchous de la critique et il affiche même d’ores et déjà une magnifique moyenne de 80/100 sur Metacritic.
Si vous avez autant hâte que nous, il faudra prendre votre mal en patience : La Bête n’arrivera pas avant le 7 février prochain dans les salles françaises. D’ici là, il est toujours possible de mater l’autre adaptation du livre d’Henry James, La Bête dans la jungle de Patric Chiha mené cette fois par la non moins excellente Anaïs Demoustier. Et en attendant, il est toujours possible d’écouter notre podcast, La Réu’ d’Ecran Large, et notamment notre épisode consacré à Léa Seydoux.
Hâte de la voir dans Death stranding 2 aussi.
Le miracle serait de voir lea savoir jouer
Étonnant mais il y a déjà eu une adaptation de ce texte d’Henry James cette année, avec Béatrice Dalle et Anaïs Demoustier.
Celui qui voudrait proposer à Seydoux une bio de Simone Signoret devrait se magner. Elle a bientôt 40 ans.
A cet âge-là, Signoret accusait déjà autrement les années.
Je répondais à @alulu ^^
C’est exactement ce que je me dis depuis des années. Je pense qu’à un moment qqun le lui dira, ou elle le sait déjà, et il y aura un projet de biopic sur elle, mais elle a encore un peu de temps. Par contre cette BA m’a laissé froid, très froid.
Bah c’est évident :
les dérivent == le pistonnage et la médiocratie bourgeoise
les maux == Miss Pathé et son non jeu
=))
(histoire de faire plaisir aux 2-3 fans perdues de la dame (et on a hâte))
« Une manière d’accentuer les maux de notre époque pour en dénoncer certaines dérives »
Mais de quels maux et de quelles dérives parlez-vous ? Ou alors c’est du remplissage ?
Humm Léa Seydoux la pistonnée au talent surestimé futur flop
Décidément, détester Léa Seydoux est une posture très à la mode. La plupart n’ont sans doute jamais vu le quart de ses films…
Et certains devraient revoir la définition de la science-fiction !
S’il faut ca jeu d’acteur dans cette b.-a., c’est surtout George MacKay qui a l’air d’en faire des tonnes.