Parce qu’il n’y a pas que Netflix dans ce monde et que d’autres plateformes voient leur catalogue grandir chaque jour, chaque semaine et chaque mois, on a décidé de faire le point sur les nouveautés prévues sur Amazon Prime Video. Chaque début de mois, Ecran Large reviendra donc sur quelques nouveautés ajoutées par Amazon Prime Video dans son catalogue, films et séries confondus, originaux ou pas, dans une liste non exhaustive.
Alors, quels sont les films et les séries à ne pas manquer sur la plateforme de streaming en ce mois d’avril ?
Déjà disponible
Parks and Recreation – Saisons 1 à 7
Ça parle de quoi ? Le quotidien des employés du département des parcs et loisirs de la petite ville de Pawnee, en Indiana, dirigée par l’optimiste et naïve Leslie Knope.
Pourquoi il faut la regarder ? Parce qu’il n’y a pas que Amy Poehler.
Bien sûr, les points communs sont évidents : dans l’approche documenteur (caméra épaule, regards caméra insistants, zooms précisément maladroits), dans la personnalité touchante, mais gênante de Leslie Knope, dans la troupe d’employés blasés, et dans le quotidien absurde d’un bureau non moins absurde. Toute l’équipe a assumé et embrassé cette comparaison, puisque Parks and Recreation n’aurait jamais existé sans Dunder Mifflin. Il y a même l’actrice Rashida Jones qui fait le lien symbolique avec The Office, avec deux personnages différents.
Mais Parks and Recreation vaut mieux que la simple comparaison. Après un petit démarrage, la série a pris son envol, grâce à ses personnages parfaitement dessinés et son écriture réjouissante. Comment résister au duo contrarié entre Leslie et Ron Swanson, interprété par le génial Aubrey Plaza en April ?
Comment ne pas reconnaître que même la parfaite Ann Perkins (Rashida Jones) et le débile Andy Dwyner (Jenny Slate.
Parks and Recreation est une usine à humour et gags, qui a régulièrement surpris avec une situation, une réplique, ou un nouveau personnage sorti de nulle part. Et qui, comme The Office, témoigne épisode après épisode d’une rigueur exemplaire en termes d’écriture et rythme. C’est d’autant plus agréable qu’au fil des saisons, les personnages ont pris leur envol, et ouvert d’excellentes perspectives – notamment avec les ambitions politiques de Leslie. Bref, jetez-vous sur Parks and Rec, pour la voir ou la revoir.
New York, Police Judiciaire – Saisons 10 à 20
Ça parle de quoi ? Des assassins, de la police, mais aussi de la justice. Un sacré cocktail pour qui aime se plonger dans les arcanes du système judiciaire nord-américain.
Pourquoi il faut la regarder ">Dick Wolf, on y retrouve une série d’ingrédients parfaitement accommodés.
Tout d’abord, il y a un casting extrêmement solide, qui soigne autant ses personnages récurrents, s’assurant une collection de ganaches toutes plus charismatiques les unes que les autres, régulièrement bien servies par des collections d’accusés ou de témoins hauts en couleur. C’est dans l’écriture de ses dialogues que l’ensemble fait preuve du plus de réussite, parvenant souvent, grâce à des échanges conçus comme autant de petites leçons d’écriture, à renouveler ses enjeux, tout en maintenant un haut niveau de qualité.
On retiendra notamment les présences inimitables de Sam Waterston, indéboulonnable flic et procureur, devenus presque aussi emblématiques de la série que la célèbre accroche qui précède chaque épisode, ou le jingle inimitable marquant les différents actes des épisodes.
La trilogie Expendables
Ça parle de quoi ? De l’inutilité de la diplomatie, de la mesure, de l’équilibre et du pardon, quand on a de gros muscles, des armes de guerre, des tatouages et des copains.
Pourquoi il faut la regarder ? Quand débarque Expendables au cinéma, les nostalgiques des années 80 sont à la peine. Le cinéma d’action américain est déjà sous perfusion de super-héros, tandis que les rares productions à mettre en scène un peu de tatanes suivent la mode initiée par Jason Bourne, et préfèrent les montages heurtés aux gros plans pleins d’explosions à l’ancienne. Heureusement, Sylvester Stallone a eu la belle idée de rassembler les plus glorieux gros bras des années 80, et de les envoyer en mission.
En résulte un film souvent impressionnant, à l’esprit rétro à peu près irrésistible, le dernier film dans lequel la star s’impliquera totalement sur le plan physique (jusqu’à se blesser durant une cascade). Le récit sera aussi pour lui l’occasion de er symboliquement le flambeau à Jason Statham, dont il emballe ici quelques-unes des plus belles scènes. On pense notamment à une incartade sur une île tenue par un vilain dictateur, occasion pour son personnage de découper en fines lamelles pas mal de vilains pas beaux, avant de nous offrir un feu d’artifice (au sens le plus littéral du terme), particulièrement spectaculaire et satisfaisant.
Après cette réussite suivirent Expendables 3, soit un chapitre tourné clairement vers la parodie, riche sur le papier, mais assez paresseux dans son exécution, tant techniquement qu’en termes d’écriture. Seuls les fans hardcores eront le troisième chapitre, qui s’égare entre scènes d’action mollassonne et nouveau casting hors sujet.
« Un doigt dans chaque oeil, jusqu’à ce que le cerveau lui coule par les oreilles. »
Spring Breakers
Ça parle de quoi ? De quatre amies qui décident de financer leur spring break en braquant un fast food, avant de se laisser embarquer dans une spirale criminelle avec un malfrat local.
Pourquoi il faut le regarder ? Parce que ça a tout d’une belle et étrange anomalie. Derrière Spring Breakers, il y a Emma Roberts), pour un film qui cache ses ambitions arty derrière les bikinis des starlettes et les morceaux de Skrillex, ressemble à un beau braquage.
Entre la photo de Benoît Debie et la musique de Cliff Martinez, Spring Breakers ressemble à un rêve qui dérive vers le cauchemar, envoûtant et déroutant. Le film utilise autant qu’il atomise les clichés sur les corps (notamment féminins, avec les actrices filmées sous toutes les coutures) et le genre (James Franco qui surjoue le bad boy), et interroge autant qu’il agace. Est-ce une gigantesque farce ? Est-ce que Harmony Korine voulait filmer des adolescentes en maillot de bain avec des lumières fluo ? Se foutre de la gueule de tout le monde, y compris le public ?
Peut-être. Mais Spring Breakers semble toujours glisser vers autre chose, de beaucoup plus mélancolique et tragique, avec ces jeunes filles qui vont jusqu’à tout perdre pour espérer se trouver elles-mêmes. Ce qui en fait un objet pas comme les autres, qui mérite d’être revus.
Framing Britney Spears
Ça parle de quoi ? De la descente aux enfers médiatique de la chanteuse Britney Spears.
Pourquoi il faut le regarder ? Le traitement infligé à la vedette dans les années 2000 a quelque chose de profondément malsain, puisqu’il reflète une misogynie médiatique et culturelle très ancrée, surtout dès que la presse People et ses biais de perception moralisateurs s’en sont mêlés. C’est avec cette réalité en tête que le long-métrage de Samantha Stark s’éloigne volontairement des autres films consacrés à la reine des dancefloors pour cre cette période bien toxique (sans jeu de mots) de sa vie.
Reste que l’absence de recul du documentaire vis-à-vis de lui-même en fait également une expérience paradoxale, qu’on pourrait presque ajouter à la liste des médias racoleurs qu’elle dénonce. Une proposition qui ne manquera pas de générer quelques débats sur la légitimité des documentaires biographiques et leurs méthodes parfois discutables, quand bien même ils comptent prendre la défense de l’artiste dont ils brossent le portrait.
Notre critique du film
S.O.S. Fantômes
Ça parle de quoi ? Les spécialistes du paranormal Abby Yates et la fantasque Jillian Holtzmann, accompagnées de la scientifique et amie d’enfance d’Abby, Erin Gilbert, vont collaborer et chasser des fantômes, après avoir témoins de phénomènes paranormaux au manoir Aldridge.
Pourquoi il faut le regarder ">Melissa McCarthy, déjà présentes dans Mes meilleures amies.
La recette est la même que les originaux, beaucoup d’humour, avec une réalisation efficace bien servie par des actrices en pleine bourre. Il est à noter la composition décalée du grand Thor, Ivan Reitman sont meilleurs, la relecture au féminin n’a rien à envier et est tout aussi agréable à regarder.
Notre critique du film
Que des numéros 10 dans ma team
LE TERRITOIRE DES LOUPS
Ça parle de quoi ? John Ottway est chargé de protéger des travailleurs d’une compagnie pétrolière en Alaska contre les animaux sauvages. Durant un vol de retour pour Anchorage, l’avion s’écrase et laisse les quelques survivants dans le territoire des loups.Ottway est le seul à pouvoir les aider à rester en vie.
Pourquoi il faut le regarder ">Bradley Cooper était pressenti pour le rôle principal…
La brutalité des images nous transporte véritablement dans le Grand Nord américain qui nous fait nous rappeler d’ailleurs la quête de survie d’Alexander Supertramp dans Ridley Scott, Le territoire des loups est un film puissant, âpre, qui ne se repose jamais sur des facilités scénaristiques ou sur des effets visuels maladroits.
Notre critique du film
SILENCE
Ça parle de quoi ? Au 17e siècle, deux prêtres jésuites se rendent au Japon pour retrouver l’un des leurs, le père Ferreira, disparu alors qu’il essayait de répandre la religion catholique. Sur place, les deux hommes vont découvrir la dangerosité de leur mission dans ce pays où les chrétiens sont rejetés et persécutés.
Pourquoi il faut le regarder ">Andrew Garfield avait décrit très justement le long-métrage comme « brutal et méditatif » à la fois lors de la promotion et c’est ce qui ressort du film.
Entre la puissance insondable de la foi, la réflexion intense sur la transmission et la brutalité des tortures, le long-métrage est une immense épopée existentielle dont la violence physique et psychologique hante longtemps. Plus qu’une méditation sur la religion, la croyance et finalement l’humain, Silence est surtout une leçon de cinéma vertigineuse à la mise en scène calme et salvatrice, magnifiée par l’écrasante beauté de la nature et la spiritualité qui se dégage de chaque plan.
Notre critique du film
Bientôt disponible
Fighter – 13 avril
Ça parle de quoi ? Un boxeur dont la carrière stagne rencontre une femme le poussant à se libérer de sa mère. Il s’entraine alors avec son demi-frère ancien taulard toxico et ancienne gloire du ring. Se poussant l’un l’autre, les deux hommes vont devoir réparer quelques blessures pour conquérir le ring à nouveau.
Pourquoi il faut le regarder ">J’adore Huckabees.
Pour Mickey Rourke. Un voit un combattant chercher un retour en grâce malgré son é chaotique et sa famille de parasites.
Si vous aimez voir Christian Bale jouer les caméléons (Batman Begins, American bluff…), vous serez servis. Maigre et totalement déglingué, l’ex-toxicomane de Bale se confronte à la sobriété d’un Mark Wahlberg qu’on redécouvre loin des films d’action musclés. Mais s’il faut regarder Fighter, c’est pour sa capacité à ne pas se faire poids lourd avec la boxe, laissant la part belle aux relations humaine et à être léger comme une plume dans son interprétation de l’histoire vraie des frères Ward.
Notre critique du film.
Cosmic Sin – 15 avril
Ça parle de quoi ? Un groupe de guerriers et de scientifiques doit se battre pour protéger et sauver la race humaine menacée par une espèce extraterrestre hostile ayant la capacité d’infecter et de devenir les hôtes d’un corps humain.
Pourquoi il faut le regarder ? Parce que comme nous, vous finissez par confondre toutes les séries B spatiales dans lesquelles cachetonne Rick Baker que par une quelconque entité galactique.
Dès la bande-annonce, papy Willis roule des yeux entre deux siestes et 4 blagues sur son âge en attendant son chèque. En lieu et place de la brochette de seconds couteaux octogénaires habituels, le casting lui colle aux basques un Edward Drake, scénariste de… Anti-Life, fait très vite redescendre sur Terre les amateurs de grand spectacle.
Kick-Ass – 20 avril
Ça parle de quoi ? Dave Lizewski est un adolescent gavé de comics qui ne vit que pour ce monde de super-héros et d’incroyables aventures. Décidé à vivre son obsession jusque dans la réalité, il se choisit un nom – Kick-Ass – se fabrique lui-même un costume, et se lance dans une bataille effrénée contre le crime. Dans son délire, il n’a qu’un seul problème : Kick-Ass n’a pas le moindre superpouvoir…
Pourquoi il faut le regarder ? Avant que Mark Millar. Dès sa scène introductive aussi surprenante que dévastatrice, Kick-Ass a contribué à amener le cinéma de super-héros vers une démarche à la fois plus violente et ironique sur le genre. Pourtant, derrière le postulat de voir un adolescent s’am à combattre des criminels la nuit en pyjama moulant, Matthew Vaughn a posé un regard vraiment tendre sur ses personnages biberonnés aux mythes modernes des bandes-dessinées.
Kick-Ass s’est alors imposé avec le temps comme une comédie d’action bien déjantée, qui a d’ailleurs exposé au grand jour le talent d’Le Commencement.
engers – 20 avril
Ça parle de quoi ? Le vaisseau spatial Avalon se dirige vers la planète Homestead II pour un voyage de 120 ans et 5000 agers en hibernation à son bord. Cependant, une panne réveille l’un d’eux avant l’arrivée prévue. Il découvre alors qu’il lui reste 90 ans de voyage et qu’il n’y a aucun autre ager réveillé.
Pourquoi il faut le regarder ? Parce qu’une romance dans l’espace sur fond de vaisseau en perdition peut toujours faire er le temps, notamment avec Chris Pratt livrés à eux-mêmes pour sauver les vies de plus de 5000 agers choisis pour coloniser une nouvelle planète. Toutefois, si on regarde de plus près, le scénario est assez basique, les tenants et aboutissants pas très originaux et surtout les thématiques trop peu développées alors même qu’il y avait de quoi dire sur la solitude, l’isolement ou l’éthique tout simplement.
Non finalement, s’il faut regarder le film de Morten Tyldum c’est parce que derrière cette histoire de conquête spatiale qui tourne mal, il y avait une histoire fascinante où la romance basique entre les deux personnages dissimulait un véritable film d’horreur dans l’espace. C’est peut-être ce qui est le plus intéressant autour de engers : voir comment l’industrie a aseptisé une oeuvre trop sombre et tragique pour Hollywood.
Notre dossier sur le film et son scénario original
Le Loup de Wall Street – 23 avril
Ça parle de quoi ? L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n’était jamais assez…
Pourquoi il faut le regarder ? Avant même la sortie du Affranchis a beau s’être éloigné des milieux mafieux pour explorer le monde des traders, c’est finalement le même système kafkaïen et corrompu qui en est ressorti dans cette fresque aussi puissante que dégénérée. La mise en scène virtuose de Scorsese s’est mise ici au service de l’ascension fulgurante d’un personnage refusant de voir la chute inévitable qui l’attend, alors que la caméra le filme comme un magnifique Don Juan de la magouille.
La performance incandescente de Matthew McConaughey ne sont pas en reste dans ce voyage hallucinogène, qui s’est imposé parmi les plus grands films de Martin Scorsese.
Warrior – 27 avril
Ça parle de quoi ? De la lutte, sociale, symbolique et familiale, de deux frangins qu’absolument tout oppose, et dont le MMA représente la dernière chance de faire quelque chose de leurs existences.
Pourquoi il faut le regarder ">Gavin O’Connor en a peut-être dirigé le rejeton le plus intéressant et le plus émouvant. Situé au lendemain du krach financier de 2008, son récit capture à la fois une certaine essence de l’Amérique populaire, ainsi que la vague d’intérêt et de ion que cristallisa le MMA durant les années 2010.
Mais plus que le portrait d’un sport ou une success-story inspirée du grand œuvre de Stallone, c’est bien ce portrait d’une famille désunie qui marque si puissamment. Nick Nolte sont impeccables en frangins séparés par la colère et un père destructeur. Avec une mise en scène sobre, toujours immergée dans les émotions troublées de ses anti-héros, le film réussit une chronique sensible de deux âmes tourmentées, cherchant désespérément à se racheter. Parce qu’il suit un duo de combattants plutôt qu’un unique challenger, le film se paie en outre le luxe d’un des climax les plus touchants du genre.
Notre dossier sur Tom Hardy
Le protège-dents n’est probablement pas indispensable
Fury – 27 avril
Ça parle de quoi ? Avril 1945, les Alliés mènent l’offensive ultime en Europe. À bord d’un blindé surnommé Fury, cinq soldats s’engagent dans une mission très risquée derrière les lignes ennemies. Le but : mettre à genoux l’Allemagne nazie surarmée en la frappant discrètement en plein coeur.
Pourquoi il faut le regarder ">Full Metal Jacket exposant l’aspect psychologiquement dévastateur de la guerre.
Pour les amateurs de American Sniper. Un casting resserré avec une vision sombre et cynique des conflits. La question de la déshumanisation du soldat est tournée avec beaucoup de subtilité et s’éloigne de la glorification classique de la guerre vue par les Américains. Plus qu’un film de guerre, Fury apparait comme un parcours initiatique pour ses hommes confrontés aux horreurs les plus innommables.
Fury est à voir pour sa capacité à faire er l’homme dans le tank avant l’action. Il faudra néanmoins faire l’ime sur le personnage insipide de Logan Lerman, seul point négatif de ce film haletant.
Ça c’est mon tank. Y en a beaucoup comme ça, mais lui c’est le mien.
Sans aucun remords – 30 avril
Ça parle de quoi ? Un marine des forces spéciales découvre une conspiration internationale alors qu’il cherche à obtenir justice pour le meurtre de sa femme enceinte.
Pourquoi il faut le regarder ? C’est la grosse exclusivité de la plateforme ce mois-ci, qui devrait bientôt débuter une campagne de promotion agressive. Et il y a de quoi, puisque cette super-production au casting onéreux (Liev Schreiber.
Will Staples, auteur sur… le troisième Call of Duty. Une équipe créative rompue à l’exercice, donc, dont on attend beaucoup.
Pas là pour tricoter des moufles
Walkyrie, très bon aussi!
Comme Kyle, sauf que j’ai pas vu Spring Breakers (arrêté au pitch)
Je rajouterai aussi Fury et Fighter deux bonnes surprises.
J’ai coché aussi Sans aucun remords.
Je retiens:
Spring Breakers, bonne surprise, beaucoup aimé, faut pas s’arrêter au pitch.
LE TERRITOIRE DES LOUPS: vraiment excellent malgré des petites incohérences. (Tailles et comportement des loups improbables), j’ai adoré.
Fighter: acteurs excellents surtout Bale comme d’hab et histoire familiale poignante.
Kick-Ass: vraiment très sympa.
Le Loup de Wall Street : un grand Scorcesse et un Di caprio incroyable … encore une fois.
Intrigué par Sans aucun remords.